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Lane, personne n’en parle mieux que celles et ceux qui l’utilisent au quotidien. Nous avons décidé d’interroger les Laners sur leur pratique quotidienne de nos lignes de covoiturage sans réservation, et leurs réponses sont étonnantes, enrichissantes, excitantes !

Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir les réponses de Sylviane :

Qui es-tu, et quel est ton historique avec Lane ?

Je m’appelle Sylviane, et je suis inscrite à Lane depuis le mois d’août 2020. J’ai commencé comme conductrice en septembre, et j’ai beaucoup discuté avec les passagers, je leur ai posé des questions. Et au mois de novembre, je me suis lancé en tant que passagère. Je me suis dit : allez, c’est parti !

Tu empruntes quelle ligne et quels arrêts ?

Je suis passagère sur la ligne Bourgoin La Grive – Lyon Mermoz.

Comment as-tu découvert Lane ?

En prenant le train ! En discutant avec une personne dont le train était aussi supprimé, et qui m’a dit « dans ces cas-là, j’utilise Lane ». Elle m’a expliqué le fonctionnement du service. J’avais déjà vu les panneaux, sans faire y faire plus attention que ça. Et j’ai vraiment bien compris le fonctionnement en discutant ensuite avec les passagers.

Comment Lane a changé ta vie ?

Je ne me pose plus de questions ! A savoir « est-ce que je dois prendre ma voiture ? », « est-ce que je vais arriver à l’heure au travail ? ». Je pars de chez moi à pied, l’arrêt est à 5 mn, et je sais que dans les 20 mn grand maximum, je pars. Pour moi c’est l’idéal, parce que je n’ai pas non plus d’heure à respecter. Si par exemple je commence à 8 heures, je pars de chez moi à 6h50 pour me laisser un peu de temps, mais je sais que je vais arriver au travail sans problème.

Tu avais des craintes ou des préjugés ?

Oui, parce que je pensais que j’allais dépendre de quelqu’un et de ses horaires, et ça me bloquait un peu. Quand on part le soir, ce n’est pas toujours à l’heure pile, et si le matin il faut se rendre au rendez-vous à un horaire précis c’est un peu compliqué. Alors que là, c’est top, parce qu’il n’y a pas cette contrainte ! C’est vraiment l’idéal, et maintenant, je n’utilise plus du tout ma voiture.

Si tu devais présenter Lane à un ami, que lui dirais-tu ?

Dans un premier temps, je lui dirais que c’est un excellent concept, parce que c’est gratuit pour les passagers, c’est convivial, on fait de super rencontres. On part travailler le matin… et ça passe très vite, on ne se rend même pas compte du temps qui passe. Et c’est très pratique : pas besoin de conduire, et plus besoin de sa voiture pour se déplacer. Même si le service devenait payant pour les passagers, je continuerais à l’utiliser.

Un arrêt de covoiturage Bourgoin Jallieu vers Lyon.

Selon toi, que faudrait-il faire pour que davantage de personnes utilisent Lane ?

C’est la question que je me pose : je ne comprends pas pourquoi davantage de personnes ne font pas leurs trajets en tant que passager. Sur la route, on voit beaucoup de personnes seules à bord de leur voiture, et je trouve ça dommage. Alors que partager son véhicule, c’est écologique ! Et ça permet de réduire les bouchons. Je ne comprends pas la réticence qu’il peut y avoir à faire du covoiturage. Il ne faut pas avoir peur !

Est-ce que tu prends des précautions particulières avec la crise sanitaire ?

Le Covid n’empêche pas de covoiturer ! Il faut prendre les mêmes précautions que d’habitude, et on porte évidemment un masque pendant le trajet.

Que dirais-tu à quelqu’un qui hésite à covoiturer avec Lane ?

Je lui présenterais tous les poins positifs de Lane, et il y en a beaucoup ! J’en parle à mes collègues de travail, et tout le monde trouve ça super, ils aimeraient beaucoup avoir ce service près de chez eux. Et c’est encore mieux depuis que l’appli affiche les conducteurs en approche, on a encore plus de visibilité. Un autre élément important, c’est qu’on ne se dit plus « à quelle heure je vais rentrer à la maison ». Je sais que j’aurai un conducteur qui m’emmènera à bon port.

En tant que passagère, comment se passe l’attente aux arrêts Lane ?

Avec le temps, en ce moment (la fin du mois de janvier – ndr), il faut s’équiper : gants, écharpe. Et certains arrêts permettent mieux que d’autres de s’abriter quand il pleut. Mais on sait qu’un conducteur va arriver !

Que manque-t-il à Lane pour devenir un service vraiment parfait ?

Je trouve que c’est déjà pas mal ! Et l’équipe est super sympa. Et nous sommes super bien accompagnés au téléphone par Maxime et Solène. Et puis on a maintenant une visibilité sur les conducteurs Lane en approche, qui sont affichés en temps réel sur l’application. Ce qui pourrait être chouette, ce serait de recevoir un message pour que l’on sache quel conducteur va s’arrêter. Mais dans l’ensemble, vous êtes déjà parfaits !

Vous avez vécu des moments insolites avec Lane ?

J’ai fait de belles rencontres, on a même la possibilité de trouver du travail, c’est assez drôle. Par exemple j’ai rencontré une responsable qui cherchait une secrétaire médicale… Et je suis secrétaire médicale !

Est-ce que tu as aussi changé tes habitudes dans la vie courante, en plus du moyen de transport ?

Ca fait déjà longtemps que je recycle et que je consomme local. Dans l’ensemble, j’essaie d’être écolo au quotidien, j’achète aux producteurs locaux et j’évite les grandes surfaces. Je fais attention à l’environnement et c’est aussi pour ça que ça me paraît hyper important de partager les voitures à plusieurs.

Merci Sylviane, bonne route avec Lane et à bientôt !